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Toutes les bonnes choses ont une fin il était temps pour les deux amants d'arrêter leurs ébats. Paulin s'était relevé du lit pour ramener Gwladys vers la porte, mais comme d'habitude, il n'avait pas pris la peine de se rhabiller. « À quoi bon ? » pensait-il certainement.Paulin
Bon, tu dois partir, elle va bientôt rentrer...
GwladysDommage, j'aurais aimé que ce moment passé avec toi dure indéfiniment.
PaulinMoi aussi mais je n'ai pas envie de m'attirer d'autres problèmes...
GwladysJe ne comprends pas, pourquoi restes-tu avec elle si tu ne l'aimes pas ?
PaulinMais si, je l'aime... Mais je t'aime bien aussi...
GwladysSur un ton très sérieux...Je ne serai pas toujours la seconde copine, je te le dis de suite...
Paulin
Sûr de lui...Je suis devenu bien trop indispensable pour que tu puisses te passer de moi, avoue-le.
Regardez-moi ce petit merdeux se prenant pour le Casanova des temps modernes. À 27 ans, Paulin possédait la même mentalité qu'un adolescent guidé par sa testostérone. Seulement voilà, on ne reste pas jeune à vie et vient un temps où il est nécessaire de s'assagir pour mieux affronter les épreuves qui nous attendent...
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